L’activité industrielle démarre sur le nouveau terminal dédié aux énergies marines
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2 octobre 2020
1 minute de lecture
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Il y a un an, la Région Bretagne annonçait l’arrivée sur le polder de Navantia-Windar, sélectionné par Ailes Marines pour fabriquer des éléments de fondations du parc éolien en mer de Saint-Brieuc.
Pour mémoire, la technologie des fondations retenue par Ailes Marines est de type « jacket » trois pieds. Il s’agit de structures sous forme d’un treillis métallique en acier pesant jusqu’à 1 150 tonnes, pour une hauteur pouvant atteindre 75 mètres, fixées sur le fond marin par des pieux. Les éléments fabriqués sur le Port de Brest sont les pièces des parties hautes et basses de ces fondations. Au total, plus de 35 000 tonnes d’acier vont être assemblées dans les ateliers de Navantia-Windar et dans les usines des sous-traitants bretons.
Depuis un an, le site a bien évolué : Navantia a construit un atelier de fabrication de 170 m de long et 15 m de haut et la production démarre.
Dix-sept entreprises locales sont déjà intervenues sur le site de Navantia-Windar.
Le 2 octobre 2020, alors que le président de la Région Bretagne Loïg Chesnais-Girard visitait l’usine avec les autres partenaires du projet de développement du port de Brest, deux nouveaux contrats entre Navantia et les sociétés bretonnes Sobec et Navtis ont été signés.
Au total, 250 emplois équivalent temps plein seront mobilisés pour la fabrication de ces éléments.
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