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200 000ménages se trouvent aujourd’hui en situation de vulnérabilité énergétique
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85 000c’est le nombre de bretons qui attendent un logement
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8000c’est le nombre de sans-abris que compte la Bretagne
Le logement est la première préoccupation des Bretonnes et des Bretons qui, en moyenne, y consacrent au moins 20% de leurs revenus. La crise sanitaire a affecté plus durement le quotidien des ménages déjà en situation de mal-logement, mais a aussi fait basculer, au moment des confinements, ceux dont les ressources dépendaient de contrats intérimaires ou à durée déterminée.
Avec l’augmentation du coût de l’énergie, beaucoup de ménages ont d’ores-et-déjà des difficultés à payer les factures quand d’autres renoncent à se chauffer. Si le logement ne fait pas partie de nos compétences obligatoires, nous intervenons depuis de nombreuses années aux côtés des 60 intercommunalités bretonnes.
C’est notamment dans le cadre notre politique partenariale avec les territoires et du dispositif « Bien Vivre partout en Bretagne », de nos politiques de soutien au renouvellement urbain dans les quartiers de la politique de la ville, à la revitalisation de centres-bourgs et centres-villes ou du soutien aux îles que nous contribuons chaque année financièrement à enrichir et diversifier l’offre de logements.
Par ailleurs, nous pilotons le déploiement de services locaux d’information gratuite, de conseils individuels neutres, et d’accompagnement des propriétaires privés pour la rénovation énergétique de leur logement, dans le cadre du programme national de financement SARE (Service d’Accompagnement à la Rénovation Énergétique), qui vise les ménages.
Nos engagements
Dès 2023
- Engagement 38 – Nous allons construire une nouvelle politique de l’habitat et du logement, en lien notamment avec les acteurs concernés, dont ceux de la solidarité, et veiller à actionner les leviers à notre disposition pour tenir compte de la situation des personnes en situation de précarité.
- Engagement 39 – Après l’expérimentation réussie mise en place à Dinard et à Lamballe, nous continuerons de mettre à la disposition des communes ou intercommunalités, des places dans certains internats de nos lycées, inoccupées pendant l’été, afin que les collectivités bretonnes puissent y loger des travailleurs et travailleuses saisonnier·e·s, confronté·e·s à la difficulté de se loger en période estivale.